Grands projets,  Vie intercommunale

Publié le lundi 8 mars 2021

Un projet de territoire, kezaco ?

Au lendemain de la nouvelle mandature, les élus de la CCPLD et des 22 communes se sont engagés dans l’élaboration d’un nouveau projet de territoire. Document de référence pour la Communauté, il fixe des orientations prioritaires pour le territoire et définit des actions concrètes qui seront entreprises dans les années à venir. Il se construit collectivement en mobilisant les élus, communautaires et communaux, les habitants et l’ensemble des acteurs locaux qui font la richesse de notre territoire.

Trois grandes étapes rythment son élaboration :

  • La réalisation d’un diagnostic territorial (étape 1) durant l’été 2020,
  • La définition des grandes orientations (étape 2) qui ont émergé lors de temps d’échanges organisés durant le dernier semestre 2020 entre élus municipaux et communautaires (séminaire, ateliers élus),
  • La construction des stratégies (étape 3) précisant la manière de parvenir aux grandes orientations orientations retenues.

C’est dans le cadre de cette dernière étape que la CCPLD souhaite maintenant mobiliser les habitants et les acteurs du territoire (économiques, sociaux, culturels, associatifs) afin de formaliser une vision partagée de l’avenir pour devenir « tous acteurs de notre territoire ».

Une concertation via plusieurs actions

Le projet de territoire concerne toutes les personnes qui vivent, travaillent, entreprennent ou exercent une activité associative, culturelle, sociale… sur le territoire du pays de Landerneau-Daoulas.

A ce titre, la CCPLD met en place une démarche de concertation dans le cadre de la dernière étape du projet de territoire. Les habitants et les acteurs locaux sont invités à s’exprimer sur le projet de territoire et à soumettre des propositions quant aux façons de mettre en œuvre les grandes orientations dégagées par les conseillers communautaires.

Divers thèmes structurants pour l’avenir du territoire sont abordés : services à la population, économie, action sociale, urbanisme, transition écologique, logement, mobilités…

Afin de mobiliser le plus grand nombre d’habitants et d’acteurs locaux, la CCPLD s’engage dans plusieurs actions de concertation en s’adaptant à l’évolution du contexte sanitaire :

  • Plateforme numérique de participation citoyenne : Cette plateforme vous permet, en tant qu’habitant ou travailleur de la CCPLD, de suggérer des propositions en lien avec les grandes orientations.
  • Réunions publiques en ligne : Deux sessions de réunion publique en ligne se dérouleront début avril.
  • Questionnaire : Un questionnaire va également être diffusé dans les prochaines semaines sur la plateforme numérique.
  • Panel citoyen : Pour associer encore davantage les habitants à cette concertation, la Communauté de communes met en place une démarche innovante et spécifique au projet de territoire : un panel citoyen. Début février, 59 habitants représentatif de la diversité communale du pays de Landerneau-Daoulas ont été tirés au sort (minimum 2 habitants par commune). Les membres de ce panel citoyen vont formuler collectivement des propositions en lien avec les grandes orientations.
  • Ateliers du conseil de développement et partenaires institutionnels : Pour compléter la concertation citoyenne, des chefs d’entreprises, des associations culturelles, des enseignants, des représentants du monde de la santé, de l’environnement, des équipements touristiques, des commerçants, des clubs sportifs… et les partenaires institutionnels (État, Région, Département…) vont se réunir pour contribuer à l’élaboration du projet de territoire.
  • Réunion agents municipaux et communautaires : Les agents municipaux et communautaires se réuniront également pour contribuer à l’élaboration du projet de territoire.
Pour toute question éventuelle, vous pouvez contacter Cécile HOSTIOU, chargée de mission auprès du Directeur Général des Services, par mail à cecile.hostiou@ccpld.bzh.
Pour donner votre avis et envoyer vos propositions via la plateforme en ligne, rendez-vous sur
cette page.
Pour plus d’informations, consultez les articles du Ouest-France et du Télégramme.